
Dans les années 90, les Etats-Unis ont découvert l’acaï, remède miracle au mal le plus répandu sur la terre : le vieillissement ! De quoi faire sourire... Car certes l’acaï est bon et bienfaisant, il ne fait pas de miracles mais il aide à bien vieillir, au même titre que le raisin, le rooibos, les fraises et de nombreux fruits aux pouvoirs anti-oxydants.
Et en plus, l’acai a un goût très particulier : L’acaï est de couleur pourpre, ressemble à une myrtille, avec un goût de chocolat.
Depuis des siècles, les Brésiliens l’utilisent pour soigner dives maux :
- L’huile du fruit est utilisée pour traiter la diarrhée.
- Une décoction des racines permet de traiter la malaria, l’hépatite, le diabète, les problèmes au foie et aux reins.
- Le zeste traite les ulcères de la peau.
- Le noyau, broyé, permet de diminuer la fièvre.
Mais les propriétés des baies acai se dégradent rapidement. L’habitude était de les consommer fraîches et donc localement. Néanmoins, aujourd’hui, on trouve sur le marché une poudre (extrait sec) obtenue après broyage et séchage à froid du fruit, ou encore une purée surgelée.
Ces deux procédés ont permis de développer la culture et l’exportation de l’açaï. Ainsi, dès les années 1980 et 1990, des sorbets à l’açaï et des collations « énergisantes  » appelées Açaà na tigela ont fait leur apparition sur les plages brésiliennes. Ces produits sont rapidement devenus populaires auprès des surfeurs, des joueurs de volleyball de plage et des sportifs en général.
Plusieurs façons de consommer l’acaï :
- en poudre
La poudre d’açaï est obtenue après broyage et dessiccation à froid du fruit avec sa pulpe.
- le jus d’acaï
- la pâte d’acai surgelée à mixer avec des fruits frais et des céréales.